Cerveau et guérison

Publié le par psychosomatic.over-blog.org

Conférence retranscrite par Jocelyne Latouche. Bravo Jocelyne pour ton travail acharné, ta rapidité et ta "conscience professionnelle"... !

 

 

Pour commencer, il faut tout d’abord accepter cette équation : La santé = la santé + la maladie.

 

Il faut déjà accepter cette équation mentale. C'est une équation qui n'est pas du tout rationnelle... La plupart des gens vont dire la santé « Oui », mais la maladie « Non ». Donc, il faut abandonner un  pré-requis pour pouvoir écouter ce que Béatrice va exposer durant cette conférence. Si on ne veut pas de notre maladie, et bien ce que l’on ne veut pas, ça va être un symptôme, et ce symptôme, ça va être vraiment de la souffrance, et bien quand on ne veut pas du symptôme, c’est comme si on avait un petit diable dans le corps qui dit :  « Tu ne veux pas écouter ce que le symptôme te dit, donc je vais renforcer le symptôme pour qu’il ait l’occasion de le dire plus fort »... Moins vous voulez la maladie et plus la maladie perdure et se renforce... et bien, c’est ça qui est important à arriver à saisir, pas à comprendre, mais à saisir, à accepter…

 

Par exemple, la 1ère des choses quand on a un cancer, c’est d’accepter, d’aller avec et dire en quelque en sorte « Je suis totalement d'accord avec mon cancer »... Un des pré-requis aussi qu’il faut bien comprendre, c'est qu'on n'est pas victime d'un cancer par hasard.... Souvent on dit « Ma mère, ma grand-mère avaient déjà un problème et bien, c'est normal que moi aussi j'ai ce problème, ce n'est pas de ma faute »... Effectivement, ce n'est pas de notre faute, on n'est pas coupable, mais on en est responsable, on parle en terme de responsabilité... Donc, on va devoir changer de tonalité vibratoire :

-         La 1ère tonalité, c'est quand on raconte notre cancer ou notre maladie en général, là on se positionne en victime…

-         Puis on va passer de la notion de victime, où on pense qu’on est victime d’une situation extérieure, à la notion de « Je suis responsable » et c’est très important d’intégrer cet étage qui est bien supérieur à la victime…

-         Puis ensuite on arrive à un état de conscience qui est encore bien supérieur, c'est « Je suis créatrice de mon cancer ».

-         Jusqu'à arriver au dernier étage de la conscience « La vie se déroule en moi et je suis la vie, mais la vie n’est qu’un simple constat »...


Schéma des différents étages de l'évolution de la conscience 

 

  

           
Eveil          
           
           
          Constat
           
        Créateur  
Persona =          
masque     Responsabilité    
           
    Victime      
           
           

 


Pour arriver à l’étage de l’éveil, il faut déjà avoir intégré tous les autres étages, les avoir bien solidifié, puis ensuite il faut les oublier pour vivre totalement l’éveil. Il faut donc comprendre que

le récit se fait à partir de la victimite aiguë, puis ensuite, on va abandonner ce processus de victime pour se sentir responsable et ensuite on va aller même au-delà et reconnaître qu'on a tout créer (les situations, les circonstances, les choses, les gens... ) et une fois qu'on est arrivé à cet étage on arrive au dernier étage de la conscience....

 

Au 1er étage, on est victime quand on raconte par exemple « J’ai un cancer du sein à gauche et je suis droitière, mais tu comprends dans la vie j'ai un gosse qui m'en a tellement fait voir et c'est pour cela que j'ai un cancer du sein »... et la personne va raconter tous ses déboires, elle va raconter sa relation à l'autre qui a été une véritable souffrance....

 

Donc, pour aller vers le chemin de la guérison, il faut tout d'abord accepter sa maladie et il faut arriver à déterminer à partir du récit le plus complet possible, quel a été le traumatisme pour que le corps sorte un programme de maladie et qu'on se rende compte que si on a fait ce cancer, on l'a fait avec notre cerveau automatique qui est notre cerveau inconscient... et pour guérir, il faut repasser tout cela par le cerveau conscient qui est le cerveau volontaire... Donc, il faut arriver à comprendre que quand on se situe dans un récit, on a le droit d'accuser l'extérieur en se disant "Pauvre de moi, regarde comme j'ai été malheureuse" et essayer de se faire plaindre...

 

Mais quel est l'avantage d'être malade ?

 

Et bien, le bénéfice qui n'est pas secondaire, mais qui est essentiel, c'est de pouvoir raconter son récit et essayer enfin de se faire comprendre...

 

Pourquoi les gens souvent ne guérissent pas ?


Et bien, c'est parce qu'ils restent scotchés dans un épisode de leur vie dans lequel ils se la jouent toujours victime, victime... Et, ils ont beau raconter 99 % de la maladie, et bien, elle ne s'en va pas, parce qu'il reste un crochet d'1%... En effet, 99 % de notre récit, on l'a fait 1000 fois à pleins de gens, pleins de médecins, mais cela ne nous a pas guéri, parce qu'il reste ce fameux petit crochet d'1% et bien, c'est ce fameux petit crochet qu'on va essayer d'explorer ensemble, parce que c'est celui qui tient, non pas dans un bénéfice secondaire, mais dans un bénéfice essentiel toutes les clefs de notre maladie...

 

 

 

     
99%    
     
    1 % "bénéfice"

 

 

                                                                         

Alors, l'intérêt d'être malade, c'est l'intérêt d'avoir mal... Si on était malade et qu'on n'avait pas mal et bien tout le monde serait malade et continuerait à être malade, seulement la maladie, c'est la solution parfaite du cerveau à une situation qui est une réponse à un stress, mais heureusement qu'elle nous fait mal et qu'elle nous dérange parce que la maladie contient en elle-même une source qui est une source d'informations. Par exemple si on a beaucoup de souffrance et bien, c'est parce qu'on a beaucoup de souffrance qu'on va aller chercher qu'est ce qu'elle nous donne comme lecture et bien, c'est le ressort de cette souffrance qui va nous donner un moment l'envie d'aller lire l'information... Si on n'avait pas de souffrance et bien, on n'irait pas chercher l'information... Donc, tout est très bien fait dans la biologie... On est malade, on souffre et on a l'énergie pour aller chercher le pourquoi et le comment des choses et arriver à se responsabiliser, c'est arriver à trouver le lien de cette lecture que l'on a d'un traumatisme psychologique et qui devient un traumatisme biologique... Donc, c'est arriver à trouver le lien qui passe de la psychologie à la biologie...

 

Alors, c'est extraordinaire de raconter les choses comme si c’était de l'extérieur, puis ensuite Béatrice trouve extraordinaire de relier les choses comme si finalement l’extérieur n'existait pas, c'est simplement quelque chose qui met en évidence notre énergie intérieure et la création se situe à ce niveau. L'énergie que l'on a dedans, c'est comme si on avait du vent intérieur, mais la lecture d'un vent ne peut pas se faire... Par exemple quand il y a eu beaucoup de vent, et bien, on se dit qu’il y a eu un cataclysme, un cyclone dans ce pays et on a mesuré la force et l'intensité du vent qui ne se voit pas avec les dégâts qui ont été causés au niveau matériel, mais en aucun cas, on ne voit le vent, le vent, c’est une énergie, donc on lit le vent à partit des effets qu'il a provoqués... Et bien, arriver à être créatrice, c'est arrivé à mettre en évidence, maîtriser, raconter la forme de l'énergie qui est intérieure à nous, qui ne  se voit pas, mais qui se manifeste par quelque chose dont les conséquences sont extérieures... Et bien, la grande case de conscience que l'on va faire avec la maladie, c'est de passer à la fois du cerveau qui est un cerveau qui est automatique, inconscient (ainsi on ne sait pas qu'on digère, qu'on respire…), on fait fonctionner notre corps avec un automatisme... Et bien quand on a un cancer, le cancer n’est pas venu nous dire ce qui ne va pas et il s'est installé à notre corps défendant....

           

-         Victime = récit

-         Responsable = lien, lecture au niveau psychologique et biologique

-         Créateur = énergie – vent intérieur et extérieur

-         Constat

 

                             

Maladie : vers :      Souffrances
                      ou   ?  : l
ire information

 

 

Béatrice nous propose de nous réapproprier notre cancer et se dire que "Si j'ai un cancer, c'est que j'ai besoin de cela, c'est la meilleure des solutions que j'ai trouvé, donc je ne suis pas victime d'une situation de la vie, mais j'ai provoqué cette situation dans la vie, mais maintenant je suis responsable, je peux lire ce lien et cela va me donner la nature de mon énergie, c'est-à-dire que cela va me donner une lecture de moi-même qui est au plus haut niveau de la conscience « Qui je suis ? », « Comment mes expériences de vie ont formaté l'essentiel de mon ordinateur central et comment ensuite je vais sortir les programmes de ma vie qui sont une adaptation à cette situation ?»…

 

Béatrice rappelle qu'elle ne vend pas de recettes, ni de techniques, ni d'astuces....

 

La maladie, c'est quelque chose qui vient déroger à un état naturel qui est notre santé... Et pourquoi tout d’un coup, on a une maladie ? Et bien, c’est parce qu’on a mis un obstacle à notre santé…

 

Béatrice dit qu'en ce moment elle a pleins d'amis qui font soit des AVC, soit des cancers du côlon... et elle rajoute qu'on attire à soi ce qui est notre problématique... Béatrice a une amie thérapeute en PNL qui a dit à l'une de ses amies qui a justement un cancer du côlon « Mais pourquoi tu ne fais pas  déprogrammer ton cancer ? »... On parle beaucoup aujourd'hui de programmation et déprogrammation des cellules... mais Béatrice n'était pas d'accord avec ce que cette thérapeute avait dit à la personne malade au sujet de la déprogrammation du cancer.... et elle s’est dit intérieurement « Si cette amie croit cette thérapeute que l’on peut programmer et déprogrammer sa maladie et bien c’est bien pour elle », mais ce n’est pas la logique de Béatrice et ce n’est pas savoir, ni de croire… En effet, Béatrice pense que c'est à la malade elle-même de déprogrammer son cancer, parce que si on croit que c'est un thérapeute extérieur qui peut nous déprogrammer un cancer, c'est comme si on mettait le pouvoir à l'extérieur, on donne le pouvoir à l’autre... C'est comme si on investissait comme un nouveau médecin en se disant « Lui, il sait mieux que moi et il va me guérir », donc on va se désaisir de notre propre programmation et on va dire en quelque sorte « Je compte sur toi pour faire le boulot, parce que toi tu sais, moi, sous entendu, je suis une imbécile, je ne sais rien, c’est toi qui a le pouvoir de m’apporter ce dont j’ai besoin, tu vas me programmer, tu vas me déprogrammer »… Mais, c’est une prise de pouvoir qui est vraiment un Ego sur-dimensionné, on n’a pas à programmer ou à déprogrammer, mais cependant il y a des techniques en PNL qui expliquent très bien… Et Béatrice est convaincu que celui qui a mis au point la PNL, il l’a bien fait, mais le drame, c’est que beaucoup de gens enseignent des choses qu’ils n’ont pas forcément bien intégrées…

 

La programmation vers la santé est quelque chose de naturel… Nous sommes tous programmés pour avoir un bon état de santé, seulement notre conditionnement, nos habitudes, nos réactions, ce que l’on fait dans la vie ne respecte pas quelquefois les règles d’hygiène de vie alimentaire… et alors on va avoir un capital qu’on va éroder… Pendant un certain temps, on fait des choses, on fait des choses, on ne voit pas la différence… Mais au bout d’un certain temps, notre corps arrive à satiété, et on voit que le déséquilibre qu’on a organisé est tellement important que là, il va y avoir un nouveau programme qui va sortir et la maladie va s’installer… Dire qu’il suffit de faire une déprogrammation… ça ne semble pas suffisant pour Béatrice… Il faut avoir vraiment compris les choses… Donc, pour Béatrice, la PNL, ça peut marcher à condition que ce soit la personne elle-même qui se programme et se déprogramme, mais pas quelqu’un qui va avoir un pouvoir sur quelqu’un d’autre pour programmer ou déprogrammer… Il faut juste essayer de mettre en évidence « Qu’est ce qu’on a fait qui nous a enlevé du lit naturel de la santé ? », « Où on a mis des cailloux, où on a crée un barrage ? », « Pourquoi on a eu des attitudes un peu en excès ou un peu en déficit qui n’ont pas laissé circuler naturellement nos énergies de vie ? »… Donc, le rôle de Béatrice, ce n’est pas de programmer ou de déprogrammer, elle nous invite juste à l’observation… Béatrice se situe dans la thérapie de l’observation et surtout d’une écoute silencieuse… Béatrice se met à l’écoute de l’autre simplement pour lui montrer ce qu’il a dit, parce qu’on ne s’entend pas, on ne s’écoute pas, on ne met pas les choses en évidence… et on est souvent dans un registre de redites qui est très périphérique, on est toujours dans la partie très superficielle de soi… On a beaucoup de mal à se voir dans nos profondeurs, parce qu’on ne sait pas bien lire, on n’a pas appris et quand on était petit, on ne nous a pas autorisé à exprimer notre émotionnel… On a organisé des habitudes de vie, des processus qui ne sont pas dans le respect des voies naturelles… Si tous les jours, tous les jours, on mange par exemple des cornichons et qu’en plus on boit le vinaigre dans lequel baignent les cornichons… et bien si on fait cela tous les jours, on va avoir une capacité d’acceptation du vinaigre qui ne va pas outrepasser une certaine quantité de liquide et après on risque de perforer notre estomac, on va abîmer notre tube digestif, notre œsophage, parce que ce qui est trop acide au bout d’un moment ça nous ronge… Et bien, on a des habitudes de penser qui sont émotionnelles, c’est-à-dire qu’on a des réactions qui sont comme des toxiques à l’intérieur de nous qui vont faire virer « vinaigre », c’est comme si on fabriquait un poison et ce poison, une fois qu’on va l’avoir fabriqué, on le boit… et tous les jours, tous les jours, on est inscrit dans un conditionnement comme cela et bien, il est normal qu’au bout d’un moment, on ait le foie qui dit « Stop, je ne peux plus supporter cela » ou bien on a les intestins, les poumons ou une autre partie du corps qui va dire « Je n’en peux plus » et pour essayer de s’adapter à une situation qui est très traumatisante et bien, l’organe en question, l’organe avec lequel on a pensé la situation, et bien c’est avec cet organe là qu’on va sortir un programme qui n’est plus le programme de la santé, mais qui est le programme de pathologie… Pathos veut dire passion, mais passion veut dire aussi souffrance… Donc, la pathologie, c’est un programme extraordinaire d’adaptation d’une situation qui elle n’est pas saine et la maladie a ceci d’extraordinaire qu’elle est la solution parfaite du cerveau par rapport à un stress, un stress qui au départ était psychologique, mais qui est devenu une lecture biologique, et ensuite, ce stress a été enregistré dans le corps, enkysté dans nos cellules et il contient en lui-même un potentiel énergétique qui n’a jamais été libéré et forcément ce potentiel énergétique garde toute l’énergie du fonctionnement de l’organe… L’organe est appauvri en énergie, il ne peut plus avoir son programme santé, donc il va sortir un autre programme qui s’appelle programme-maladie… Parce que dans la vie, on croit penser, mais en fait, on est pensé à travers nos organes et le stress, c’est ce qui va sur un des organes avec lequel on a pensé le traumatisme… Alors, cette phrase est très compliquée, mais c’est juste pour nous montrer que si on a un niveau de stress, et bien, le stress ne peut pas rester dans le cerveau… On est obligé de dégager le stress qui est dans notre cerveau pour qu’il continue à avoir tous les paramètres de fonctionnement et de régulation de la vie et donc, on va dégager le stress et on va l’envoyer dans un organe, et chaque organe va avoir une lecture différente d’un niveau de conflit qui est organisé dans la vie, mais pour lequel, on n’avait pas conscience de cela…

 

La formation en décodage biologique que Béatrice propose, c’est apprendre cette lecture… On apprend à lire l’histoire de chacun des organes…

 

 

Comment faire pour rentrer dans la guérison ?

 

Et bien, si on a une maladie, quelle que soit cette maladie, il faut tout d’abord arrêter de penser à notre symptôme… Pour rentrer dans la guérison, il faut premièrement aller avec sa maladie, il faut écouter, faire silence, comprendre, lire, voir les liens, voir ce qui s’est organisé à l’intérieur de nous et pourquoi on a un organe qui déroge au bon fonctionnement… Donc, qu’est-ce qu’il nous donne comme informations ? Qu’est ce qu’a été notre comportement, notre traumatisme ?… Et le processus, c’est tout d’abord d’écouter, d’écouter, de trouver des pistes, de faire des hypothèses de départ… jusqu’à ce qu’on trouve exactement 99 % de la maladie et on va affiner, affiner pour trouver le 1 % du crochet… C’est là où est tout l’art de l’accompagnement de la personne malade avec la personne qui veut guérir, parce que c’est là que ça se passe… Et on va voir qu’on trouve souvent en fin de course « J’ai cette maladie pour 3 raisons » :

-         Parce que j’ai besoin d’être aimé : étage émotionnel

-         Parce que je n’ai pas été assez reconnu : étage mental

-         Parce que je souffre de manque : étage physique

Toutes les maladies aboutissent là… alors, on va se dire, c’est formidable, on a déjà les solutions de tout, mais on n’a pas les intermédiaires des solutions, mais on sait déjà qu’elles vont arriver en fin de piste sur ça… mais avant qu’on trouve quel est le conflit, notre histoire singulière, quelle est l’énergie, le vent intérieur qu’il y a à l’intérieur de nous et bien on va voir qu’il y a du chemin à faire et ce n’est pas seconde même… et cela va prendre parfois des mois… mais, c’est avec la persistance et la foi qu’on va avoir ce regard, cette intention qui va délivrer de façon intuitive le message… Si Béatrice est là en tant que thérapeute en disant « Moi, je sais mieux que toi » et bien dans ce cas, elle se place au-dessus et sous-entendu « Tu as tel organe qui ne va pas et comme je connais le conflit, je te dis déjà ce que tu as »… Ok, mais ça ne respecte pas l’autre… parce que ce que Béatrice aime dans le décodage, c’est que c’est un art, une écoute qui est co-créatrice… Béatrice est tout à notre service, elle nous écoute et c’est nous qui avons les clefs… et en aucun cas son savoir va être supérieur à notre traumatisme… Donc, déjà, il ne faut pas se positionner au-dessus, mais se positionner en-dessous… On guérit toujours en étant le plus bas possible… Il faut être totalement à l’écoute, au service parce que l’autre n’a pas tout à fait conscience de cela, il connaît un peu les bribes, il sait un peu de quoi ça parle, mais il a du mal à mettre des mots dessus…

 

Béatrice va faire une conférence bientôt sur les mémoires de notre eau matricielle, et bien, cela veut tout simplement dire « Qu’est ce qui s’est passé quand on était dans le liquide amniotique de notre mère ? »… Et bien, là, on n’a pas de mots pour raconter parce que notre cerveau n’était même pas formé, et pourtant on a beaucoup de traumatismes qui se sont passés dans notre vie intra-utérine et puis, ensuite, on va en avoir les conséquences dans notre vie d’adulte… Alors, la 1ère chose, c’est de partir à partir de maintenant, on ne peut pas remonter à l’origine de notre conflit, on ne peut pas remonter à l’origine programmant tout ce qui ne va pas, mais on va simplement aller regarder ce qui l’a déclenché… Par exemple, quand on est tombé malade, qu’est ce qui a fait qu’on est tombé malade ? Qu’est ce qu’on vivait à ce moment là dans notre vie ? Il faut remonter au plus près, parce que là on a le souvenir, on peut le dire, on a les mots…. Donc, le décodage, c'est d'abord affiner son langage et permettre de voir très précisément ce qu'on va raconter dans le récit... Et le récit part de maintenant et puis, par hasard, on va se rendre compte que certains traumatismes qui racontent un événement très précis vont avoir une énergie intérieure qui va être en résonnance avec une autre énergie intérieure qui est du même calibrage, mais les évènements qu'on va décrire à cette époque qui était bien avant sont totalement différents... Et puis, il suffit qu'on fasse un autre rebond et on va raconter d’autres événements qui sont encore différents, mais on va voir que l’énergie est toujours la même… Ainsi, on va voir qu'on a toujours été perturbé, ennuyé par tel style de choses ou tel évènement, par tel style de blessure... Par exemple, Béatrice dit que s’il y a une énergie, qu’elle a c’est son vent intérieur, et bien, elle souffre d’une blessure de trahison et dans son corps cette blessure se voit très bien, et s’il y a bien une chose qu’elle n’aime pas dans la vie, c’est se faire avoir… mais personne n’aime se faire avoir, ni au niveau de l’argent, ni au niveau de la relation, ni au niveau des évènements… et bien, sa blessure, c’est la blessure de la trahison et chaque fois qu’elle va caresser de près ou de loin cette blessure de trahison, et bien, elle va être dans une réaction qui va être une réaction épouvantable… par exemple, on va lui faire quelque chose, et elle va avoir une susceptibilité qui va faire qu’elle va se refermer, elle va être agressive, mais tant qu’elle n’a pas fait le lien entre toutes ces choses qui l’irritent, et bien, chaque fois, elle croit que c’est l’événement qui est porteur d’un événementiel qui l’a irrité et elle va dire par exemple « Tu comprends, c’est la faute d’un tel, il m’a fait ceci ou cela… » et on va être scotché dans le détail du récit de ce qu’il nous a fait, et pourquoi on a réagit et pourquoi on a mal… Et bien, la thérapie que Béatrice propose a ceci de très particulier, c’est qu’on peut lui raconter n’importe quoi, elle s’en fout, mais elle nous écoute attentivement parce qu’à travers nos propos, à travers nos mots, ce qu’elle essaye de capter en permanence, c’est notre vent, notre énergie intérieure qui va toujours être semblable et analogue et comme cela au travers de plusieurs récits, Béatrice va nous la mettre en évidence… Ce qui n’est pas intéressant, c’est qu’elle s’en rende compte, mais ce qui est intéressant, c’est qu’elle nous en donne la lecture, si on en est d’accord et si on fait tilt et bien, dans ce cas, on est déjà sur le chemin… Combien de fois, Béatrice propose des hypothèses où les gens disent « Non » et ils ont le droit, ils ne sont pas obligés de dire « Oui » pour lui faire plaisir, et à un moment donné dans toutes les hypothèses proposées, il y a un mot, une phrase, une façon de raconter et ils disent « Oui, ça me plaît, c’est dans ce sens là » et bien à ce moment là, on tient le bout de ce fil rouge, qui est le bout qu’on va remonter, remonter et qui raconte toutes les circonstances de la vie, le creuset qui a formaté la K7 du départ avec des éléments essentiels… et bien, on va voir que notre maladie n’est pas une maladie par hasard, mais qu’elle est là au tissement même de la formation de notre cerveau…  Si Béatrice par exemple a un cancer au côlon et bien est-ce que vous croyez qu’elle a le même que sa voisine qui a aussi un cancer au côlon ? … Et bien, « Non » et pourtant, c’est le même organe, et il a un vent intérieur, une énergie, mais si on va dans un propos et bien, Béatrice va raconter pourquoi elle a un cancer au côlon et elle va le détailler avec une multitude d’évènementiels et de faits qui se sont passés qui ont fait qu’on n’était pas contente et qu’on s’est sentie comme ceci, comme cela… et la voisine qui a aussi un cancer du côlon va raconter une toute autre histoire… Les récits vont être totalement différents et ce qui est intéressant, c’est de faire la synthèse et de toujours tout ramener dedans et on va voir qu’à un moment donné avec l’habitude, avec le travail répétitif et bien, on arrive à voir les choses… Quand on dit voir, c’est qu’il y a tout d’un coup une image virtuelle qui se forme et qui est la synthèse de notre propre énergie de vie… Et bien, l’énergie de vie, c’est comme si on avait la sève dans un arbre, on est dans un tronc d’arbre et on a reçu des coups sur le tronc, de multiples facettes et de multiples façons, mais c’est comme si ces coups, bien qu’ils soient décrits par des évènements qui sont complètement différents, ils ont toujours tapé sur le même endroit et bien on a tous des axes qui peut être l’axe du tube digestif ou l’axe respiratoire ou l’axe des muscles, des articulations… On a tous un axe plus faible et bien quand on a un stress, on va voir qu’immanquablement tous les stress reviennent tapés sur la partie la plus faible… Dans une chaîne, on dit que la force de la chaîne, c’est son maillon le plus faible et bien nous, notre construction du départ est faite avec une blessure centrale et pour plus jamais qu’on souffre, on a construit des masques, c’est notre personnalité, mais avec notre personnalité va la blessure centrale de notre être… Faire le travail, c’est découvrir sa blessure centrale… Et on va voir que c’est une espèce d’autoroute et puis, on va souvent raconter des choses qui sont sur des bretelles annexes, mais c’est là où on va trouver la faille… Et quand on a trouvé la faille, quand on a trouvé la nature de notre blessure, on a beaucoup de grilles de lecture pour savoir où est notre faille, et bien, l’essentiel, ce n’est pas que les autres le voient, mais l’essentiel, c’est que nous on le voit chez nous, qu’on s’en rende compte et là, c’est le 1er pas vers la guérison… On a ça à l’intérieur de soi qui nous est intolérable, on a ça qu’on n’a pas voulu voir tellement on a eu mal… Alors, la 1ère des choses :

-         c’est accepter de l’avoir = c’est avec le cœur

-         de l’identifier = c’est avec la tête
(...)

Conférence de Juin 2008


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C
Il y a de cela 2 ans j'étais un homme malheureux et malchanceux. J'avais divorcé avec ma femme il y a long temps pourtant je l'aimais. Et j'ai parlé de ça sur internet pour avoir des conseils. Parmi tous les conseils que j'ai reçu une femme qui m'a conseillé de contacter un homme honnete suivit de son mail maitremagni@gmail.com voici son numéro de WhatsApp et appelle 00229 91919752 pour lui expliquer mon cas. Au début je n'avais pas confiance parce que j'ai déjà contacter beaucoup qui m'ont pas satisfait et quand je l'ai contacté, je lui ai expliqué toute la situation de ma femme et moi. Vous savez quoi?<br /> <br /> Cet homme m'a dit qu'il va me faire quelque chose pour que ma femme revienne. Et j'ai passé à quelques rituels.<br /> <br /> Et bizarrement dans les sept jours à suivre ma femme est revenu en me suppliant de remarier avec elle, c'est un miracle pour moi en plus de ça j'avais des soucis au travail avec mon directeur tout ces problèmes sont finis et je suis en paix au travail et dans mon foyer. C'est le premier miracle que j'ai vu dans ma vie.<br /> <br /> (pour tous vos petits problèmes de rupture amoureuse ou de divorce-maladie-la chance-les problèmes liés a votre personnes d'une manière-les maux de ventre-problème d'enfants-problème de blocage-attirance clientèle-problème du travail,porte monnaie magique,multiplication d'argent ou tant d'autres). Ce maitre est très fort avec lui ma femme est revenue et j'ai eu la satisfaction en 7 jours il est très fort surtout les problèmes de retour affectif.<br /> <br /> C'est une personne sérieuse et honnête qui offre son talent a des personnes honnêtes qui sont dans le besoin d'appui spirituel pour avoir satisfaction a tous les problèmes de leur vie actuelle, soit pour s'assurer d'un lendemain meilleur avec leur famille.<br /> je me permets de vous laisser son contacte : voici son numéro de WhatsApp et appelle<br /> 00229 91919752) voici son: email <br /> maitremagni@gmail.com
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M
Oser dire "Si j'ai un cancer, c'est que j'ai besoin de cela, c'est la meilleure des solutions que j'ai trouvé,... " la stupidité n'a pas de limite.
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